Section Algérienne de l'Union Internationale de la Presse Francophone
  4ièmes Journées de la presse francophone
 

4èmes Journées de la presse arabe francophone
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Après l'Egypte, le Liban et le Maroc, les 4èmes JOURNEES DE LA PRESSE ARABE FRANCOPHONE organisées par la section algérienne de l'UIJPLF présidée par Amer Oumalou,
se sont déroulées à ALGER le 3, le 4 et le 5 mai 2000, sur le thème

"Liberté de la presse et responsabilité des journalistes"

 

Presse algérienne

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- Jeudi 4 mai.
Défendre les valeurs démocratiques
"... Plusieurs confrères sont venus de plusieurs pays arabes pour participer à cette manifestation qui représente une occasion unique pour se rencontrer et échanger les expériences (...) Abordant cette journée mondiale de la liberté de la presse, M. Tebboune Abdelmadjid, ministre de la Communication et de la Culture, a souligné que ces 4èmes journées constituent un évènement tout à fait particulier, puisque c'est la première fois qu'une telle manifestation se tient à Alger, ce qui démontre l'attachement aux valeurs de la démocratie. Ensuite, le ministre s'est interrogé sur les conditions idéales  pour exercer la liberté d'expression dans une démocratie naissante comme la nôtre...
" Pour M. Bourges, la question de l'information et de la responsabilité du journaliste se pose aujourd'hui dans des termes radicalement nouveaux... "Il ne suffit pas de multiplier les journaux, les stations, les chaînes pour assurer le pluralisme et l'ouverture démocratique. Il faut encore que leur mode de financement soient variés, qu'ils puissent investir  dans des contenus et des productions propres, enfin qu'ils aient vocation à servir l'information et l'éducation, ce qui est le cas de tous les médias"....  Ibn Ahmed.

- Vendredi 5, samedi 6 mai. Réalités et perspectives
"Les 4èmes Journées de la presse arabe (francophone) ont clôturé hier leurs travaux à l'Hôtel El Djezair, dans une symbiose quasi-magnifique. Le ministre de la Communication et de la Culture, qui a présidé la séance de clôture, a annoncé que des contacts avancés sont en cours avec le Conseil supérieur de l'audioviusuel en France pour une ouverture sereine de notre secteur audiovisuel... Les participants ont chargé le ministre de présenter leurs remerciements et leur reconnaissance au président de la République, en lui rappelant surtout que c'est la première réunion de type francophone qui se tient en Algérie...."
Hervé Bourges "a insisté à ce que les médias, quels que soient les bouleversements qu'ils connaissent, ne doivent pas s'affranchir des valeurs culturelles,  philosophiques, humaines, sur lesquelles nos sociétés reposent et se construisent depuis des siècles, à savoir, les principes fondamentaux du respect de la dignité humaine, le pluralisme et l'honnêteté de l'information"
Autre intervenant remarqué, Jean Kouchner "a tenu à préciser que l'absence de journalistes bien formés, pertinents, de qualité, c'est-à-dire conscients de l'immense valeur de ce métier, de sa grandeur et de ses difficultés, ne permet pas le développement d'une information au plein sens du terme. En qualifiant le journaliste de médiateur entre l'opinion et le secret, il a conseillé à ce dernier d'éviter cinq dangers qui guettent en permanence la société des médias : le vedettariat, l'illusion, la corruption, la superficialité et la suffisance".
"Deux autres interventions ont été suivies avec intérêt... celles de deux journalistes connus de la scène médiatique nationale... Pour M. Oumalou, la mort et la censure qui frappent inlassablement les journalistes, devraient constituer un stimulant pour rester mobilisés afin d'arracher chaque jour un peu plus d'espace pour que vive l'expression libre... Pour Abdou B. "rien n'a bougé depuis   la promulgation de la loi d'avril 1990 sur l'information, surtout sur l'audiovisuel.... aucune loi n'a été initiée ni par le gouvernement, ni par les majorités qui se sont succédées, ni par l'opposition."
Ibn Ahmed.

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- Jeudi 4 mai.
Le quotidien national rend compte sur deux pages des 4èmes journées de la presse arabe francophone. Une journée particulière présente l'ouverture des travaux.
Etre libre c'est bien, être responsable c'est encore mieux s'attache aux interventions d'ouverture du ministre de la Communication et de la Culture et du président du Conseil supérieur de l'audiviovisuel français.
M. Tebboune  "Il faut passer au professionalisme"
"La nouveauté de la loi sur l'information, c'est qu'elle cite clairement le travail du syndicat national des journalistes, la charte de déontologie et l'ordre des journalistes. Ce qui veut dire qu'aussi bien la loi, que le syndicat, que les journalistes, ont le même souci, à savoir une démocratie réelle, dans le respect de la déontologie.... Je signale aussi que la presse a atteint un degré de maturité remarquable... Il est important à retenir que depuis une année aucun journal n'a été suspendu, et aucun journaliste n'a été empêché d'exercer. Pour ce qui est des perspectives, je peux dire que l'Algérie avance à pas de géant vers une démocratie effective et non de façade".
M. Hervé Bourges  "L'ambition de dire la vérité"
"Aujourd'hui nous sommes ensemble ici pour étudier ce phénomène de liberté et de responsabilité, car l'un ne va pas sans l'autre. En tout cas, on ne peut pas être un bon journaliste si on n'a pas une bonne formation, si on n'a pas le recul néccssaire, si on a des ambitions autres que celle de dire la vérité, et si on est là pour régler des comptes.
"... il y a aussi la liberté de l'entreprise de presse, qui a une ligne éditoriale assumée par le responsable de l'entrepise de presse. Le journaliste est au service de son entreprise, libre à lui de ne pas y travailler, si la ligne ne lui convient pas. La ligne éditoriale est l'un des fondements de la liberté de la presse."

- Vendredi 5, samedi 6 mai. La "déclaration d'Alger" appelle les journalistes à plus d'honnêteté et de sens des responsabilités.
A l'heure de la clôture, le quotidien retient notamment du ministre de la Communication et de la Culture "la disponibilité de l'Algérie à accueillir de nouvelles manifestations et à concéder l'aide nécessaire" et souligne différents points de la Déclaration finale de l'UIJPLF. Le quotidien note la solidarité affirmée avec la presse algérienne dans l'exercice de la liberté d'expression, une proposition d'aide concrète à la formation et rapporte que les débats "ont mis l'accent  sur l'importance de la confiance entre la justice et les médias, notamment la presse indépendante, proposant d'introduire au code de l'information des articles qui garantissent la protection du journaliste et lui permette d'accomplir sa mission d'information dans de bonnes conditions."

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- Jeudi 4 mai
La francophonie à Alger
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... les Journées arabes de la presse francophone ont lieu dans un pays qui ne fait pas officiellement partie de l'espace francophone... (le ministre de la Communication) Abdelmadjid Tebboune a surtout parlé de l'expérience algérienne dans le domaine de la pluralité médiatique et de la défense de la liberté d'expression. (Il) a voulu marquer des points à certains pays qui se réclament garants de toutes les libertés démocratiques (en affirmant que) ... l'Etat s'est mis à aider certains médias, non pas dans le but de les instrumentaliser, comme cela se fait dans nombre de pays, mais uniquement pour consacrer une réelle liberté d'expression... Le combat des journalistes algériens pour la liberté d'expression devient aujourd'hui un exemple difficile à suivre par les autres pays arabes et africains où la censure est la règle.... Rabah Abdellah, le secrétaire général du SNJ (Syndicat national des journalistes), résumera la situation en affirmant que la liberté d'expression est avant tout une affaire de journalistes... Abdellah Stouki, président de l'UIJPLF, Georges Gros, le secrétaire et Amer Oumalou, président de la section algérienne, n'ont pas choisi fortuitement l'Algérie pouir organiser cette manifestation consacrée à la liberté d'expression dans la presse arabe francophone." Ali T.

- Vendredi 5, samedi 6 mai. Pays arabes et francophonie. Ce devoir de dire vrai...
"Il est vrai que le débat sur la liberté d'expression et la responsabilité des journalistes dans l'exercice de leur métier d'informer est un débat vague. N'empêche que les membres de l'Union internationale des journalistes et de la presse francophone (UIJPLF) invités par la section algérienne, ont su comment faire fructifier les débats. Comment ne pas apprécier les communications de spécialistes des questions liées à la presse et à la communication de la trempe de Hervé Bourges, le président du Conseil supérieur de l'audiovisuel en France ou d'un Jean Kouchner, directeur de perfectionnement d'une des plus grandes écoles de journalisme en France (NDLR : le Centre de formation et de perfectionnement des journalistes). les deux communications ont d'ailleurs inspiré bon nombre de professionnels algériens, qui, de par leurs questions, ont soulevé d'autres thèmes qui n'étaient pas inscrits à l'ordre de ces journées..."
A. T
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- Dimanche 7 mai. Sous un titre à la Une, La liberté de la presse est un choix irréversible, Horizons conclue les 4èmes Journées, avec le ministre de la Communication revenu assister au dernier jour des travaux en compagnie du Secrétaire général du gouvernement. Les Journées auront été un moment privilégié entre la presse algérienne et M. Tebboune dont Aissa C. rapporte les propos, profitant de l'occasion pour dissiper avec lui l'ambiguité "francophone" soulevée par certains : "Il s'agit de la liberté de la presse dans toute son acceptation. Ne faisons pas dans l'amalgame" clarifie le ministre qui officialise l'attention du gouvernement algérien pour l'expérience du Conseil supérieur de l'audiovisuel, l'autorité de régulation française présidée par Hervé Bourges pour quelques semaines encore. "Nous allons profiter de l'expérience française en ce domaine... Les relations sont très cordiales et j'espère que les actions se concrétiseront en fonction de nos besoins et de ceux de la société. L'intérêt est que nous avançons avec certitude sur ce terrain."

La presse en Algérie : un exemple pour le Maghreb et le Monde arabe. En mettant en avant le modèle algérien, en page intérieure, le quotidien national reproduit un engagement du ministre de la Communication : "Parmi les peuples qui ont payé très cher pour leur liberté, le peuple algérien a été de ceux qui ont consenti beaucoup de sacrifices. Les journalistes, dans ce sens ont également arraché la liberté de la presse, et c'est pourquoi nous la défendrons ensemble, car elle est une décision irréversible de la démocratie."
"On retiendra de ces journées une avancée et une grande liberté d'idées et d'analyses fortement appréciées par les organisateurs et invités de marque..." remarque Horizons, qui insiste aussi sur le contenu de la Déclaration d'Alger : "Ce texte contient une série d'énoncés et de soutien aux journalistes victimes de la répression sous toutes ses formes, condamne les assassinats, soutient le courage des journalistes qui luttent pour la liberté de la presse et la démocratie, rappelle que les médias ne sauraient s'exonérer de la vigilance, de la conscience, de l'honnêteté.
A. Chenouf.

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- Samedi 6 mai
. L'UIJPLF soutient les journalistes algériens, titre
La Nouvelle République qui présente le contenu de la Déclaration d'Alger.

 

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- Jeudi 4 mai
Hervé Bourges évoque la coopération algéro-française dans le secteur audiovisuel.. La présence remarquée du président du CSA français aux 4èmes Journées de la presse arabe francophone d'Alger est un indice pour Younes Hamidouche qui admet que "La mise en place d'un organisme de régulation de l'audiovisuel constitue un préalable à l'ouverture du paysage de ce secteur en Algérie. Les principes de neutralité et d'impartialité demandent un réel respect. " Mais, poursuit le quotidien national "il reste que la volonté politique a toujours manqué quand il s'est agi de réelle ouverture du paysage de l'audiovisuel". 

- Vendredi 5, samedi 6 mai En rappelant "l'engagement" de Abdelaziz Bouteflika, Abdelmadjid Tebboune n'exclut pas l'ouverture du champ audiovisuel (...) "sans pour autant indiquer précisément si et quand l'engagement en question va être respecté" avance La Tribune qui voit dans les interventions du ministre algérien aux Journées de l'UIJPLF l'annonce d'une volonté d'ouverture prochaine du secteur audiovisuel encore directement contrôlé par l'Etat "Le pouvoir est-il en train de préparer l'ouverture des médias lourds ? Une phrase prononcée hier par le ministre de la Communication et de la Culture permet d'indiquer que les pouvoirs publics sont en effet sur le point d'y répondre favorablement.
"... Présent à ces journées de la presse francophone, Hervé Bourges, avait le 3 mai 2000 à l'ouverture des travaux de cette rencontre qui a regroupé des dizaines de journalistes de plusieurs pays, souligné qu'une coopération algéro-française prend forme dans le secteur de l'audiovisuel.
"la coopération a été (...) au centre de la Déclaration d'Alger... (qui) contient une double invitation aux autorités algériennes, d'un côté et à l'Agence intergouvernementale de la francophonie d'un autre côté".
Younes Hamidouche.

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- Samedi 6 mai. Le quotidien accorde une page à un entretien de A. Timizar avec Hervé Bourges et annonce la convention passée entre la télévision nationale et le CSA français pour la diffusion prochaine de Canal Algérie en France sur le réseau de la Lyonnaise Câble.

L'UIJPLF s'implique,  affirme en conclusion des Journées francophones, Karim Aït Kaci qui rapporte les différents points de la Déclaration d'Alger et souligne l'appel des journalistes francophones à la solidarité "active et nécessaire" de la profession à l'égard de la presse algérienne et l'invitation de l'Algérie à se rapprocher de cet "espace d'échange, d'entraide et de solidarité dans le respect des langues et des cultures de chacun" qu'incarne la Francophonie.

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- Vendredi 5, samedi 6 mai. Pour une expression libre en Algérie. Sous ce titre annoncé à la Une le quotidien reprend chaque point de la Déclaration d'Alger de l'UIJPLF. Faiçal K. souligne également l'hommage particulier rendu à la presse algérienne par Hervé Bourges et l'annonce par le ministre algérien de la Communication d'une "ouverture du champ audiovisuel aux opérateurs privés". Citant le message du vice-président de la section belge André Buyse, le quotidien constate, en conclusion des Journées de l'UIJPLF, que les journalistes arabes francophones sont "conscients que l'expression des idées et des faits en français est, au-delà des mesquineries politiques et des régionalismes ethniques, l'un des vecteurs les plus efficaces des idées de liberté, d'universalité et d'indépendance".

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- Jeudi 4 mai.
Journées sur la presse francophone. Le quotidien rapporte l'ouverture de la manifestation "caractérisée par une forte participation étrangère de journalistes". M.C.

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- Mercredi 3 mai.
Les journalistes francophones s'invitent à Alger
Annonçant la venue de "têtes d'affiches" du monde journalistique français, comme Hervé Bourges, Dominique Bromberger et Georges Gros, et la participation du ministre de la Communication Abdelmadjid Tebboune, Mounir B. insiste sur l' "éclaircie politico-linguistique" qui permet la tenue en Algérie d'une réunion "initiée par une organisation se réclamant de l'espace francophone". "La section d'Alger de l'UIJPLF dirigée par le journaliste Amer Oumalou, qui existe depuis une dizaine d'années, n'a pu monter une telle manifestation qu'après que la conjoncture politique y soit plus favorable, surtout depuis que le président Bouteflika avait brisé le tabou de la francophonie en usant du français lors de ses discours officiels". Et le journal d'Oran revient sur l'importance et l'opportunité de ces Journées arabes de la presse francophone pour "aborder un thème cher à la presse indépendante algérienne, pour que les journalistes algériens ne soient plus exclus d'un espace d'expression francophone, au-delà des clivages idéologiques qui l'ont affecté ces dernières années".
"La liberté de la presse est une denrée périssable" affirme le Secrétaire général international de l'UIJPLF Georges Gros dans un entretien avec Mounir B. "L'important est que nos confrères qui viennent des différents pays ont bien conscience que la liberté de la presse est un bien précieux que nous devons savoir préserver. Il appartient aux journalistes de défendre constamment cette liberté". Se réjouissant justement "de l'esprit d'ouverture des autorités algériennes qui permettent à une association francophone de se réunir à Alger", Gorges Gros souligne l'importance de cette "grande première" : "c'est la première fois, depuis une vingtaine d'années qu'une grande réunion internationale de presse se tient à Alger, ... qu'une OING rattachée à la francophonie (réunit) à Alger des journalistes francophones venant de différents pays, même s'ils ont leur propre langue maternelle, leur propre culture et que, pour certains, ils travaillent dans leur propre langue maternelle". Natif d'Oran où il a vécu vingt-deux ans, le Secrétaire général international, interrogé plus personnellement sur la presse algérienne, exprime le sentiment unanime chez les participants étrangers : "je suis frappé par le nombre de titres, par la qualité de la présentation des journaux et par la densité des articles. Tous ces paramètres reflètent une qualité journalistique importante en Algérie. La presse algérienne recèle d'excellentes plumes".
Détonateur d'une réflexion sur la liberté de la presse, Kamel Daoud accompagne d'une tribune "Raïna Raïkoum", l'ouverture des Journées de la presse. "L'information c'est comme le sang, ça doit circuler" est le titre du morceau composé par l'éditorialiste désabusé sur le thème "Dix ans après"... les journalistes et la presse ont changé. Succédant à la génération héroïque et romantique, le chroniqueur redoute de voir poindre des temps nouveaux qui ne seraient que le retour des anciens, rêvant de "l'Etat dans l'Etat", de "journalistes citoyens à part" et de "haut-parleurs" du pouvoir...

- Samedi 6 mai.  Appel, compassion et condamnation, ressortent de la Déclaration finale des journées de la presse arabe francophone pour le quotidien d'Oran à qui n'a échappé ni l'affirmation de la solidarité des journalistes francophones avec leurs confrères algériens, ni les appels adressés à l'Algérie et à la Francophonie pour se retrouver. Y.T.

- Dimanche 7 mai. La France redécouvre l'Algérie et l'Algérie regarde la France, titre le quotidien d'Oran citant Hervé Bourges. Le président du CSA français a accordé un long entretien à Mounir B. sur l'expérience française en matière de régulation de l'audiovisuel et sur les échanges possibles entre les deux pays.

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- Mercredi 3 mai.
Presse et responsabilité. Le quotidien annonce le séminaire organisé par la section algérienne de l'UIJPLF qui rassemble " plus d'une centaine de journalistes venus d'Europe, d'Afrique ou d'Asie". Haïet Abass note que "Même si la presse nationale a permis à l'Algérie de faire des grandes avancées en matière de démocratie, de nombreux pays arabes ont du chemin à parcourir."

- Vendredi 5, samedi 6 mai. Le Monde arabe doit beaucoup à l'Algérie constate Haïet Abass   avec "les nombreux journalistes présents à la clôture des travaux des 4èmes Journées de la presse arabe francophone". "Cette position partagée par l'ensemble des participants invités par l'UIJPLF constitue une reconnaissance envers la presse algérienne." apprécie le quotidien.

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- Mardi 2 mai.
"Cette manifestation vient à point nommé pour la découverte de l'expérience de la presse libre en Algérie" A.B.
- Jeudi 4 mai. A la Une
: Pari gagné affirme le quotidien rendant compte de la séance d'ouverture : "L'UIJPLF, section d'Alger (...) a incontestablement tenu son pari, celui de regrouper les journalistes de la presse francophone à Alger". R. Meziane.
- Vendredi 5, samedi 6 mai.
Liberté rapporte ses observations en coulisse. Ayant suivi celui qu'il appelle "invité vedette", le quotidien a noté l'émotion d'Hervé Bourges à la surprise du gâteau et des bougies apparus un soir en musique à l'Hôtel El Djezair, où l'on sait que "l'Ami de l'Algérie" est né à Rennes un 2 mai.

 

Maghreb Confidentiel
- Mercredi 19 avril - En organisant à Alger les 4èmes Journées de la presse arabe francophone les 3 et 4 mai, l'UIJPLF réalise une double première : après l'Egypte, le Liban et le Maroc, l'Algérie abritera, fait sans précédent depuis 1988, une réunion internationale de journalistes sur le thème "Liberté de la presse et responsabilité des journalistes", qui sera en même temps la première manifestation francophone accueillie, voire encouragée par les autorités algériennes. Cette "ouverture" intervient au lendemain du Sommet euro-africain du Caire, dont Abdelaziz Bouteflika avait présidé la première séance de travail à huis clos, en se servant exclusivement du français pour diriger les travaux. Ce qui lui avait valu les remerciements de Jacques Chirac.

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Dimanche 30 avril et vendredi 5, samedi 6 mai 2000

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PRESSE LIBANAISE

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- Vendredi 5 mai - Journées de la presse arabe francophone
Le quotidien francophone de Beyrouth reprend l'AFP pour citer le président du CSA français Hervé Bourges présentant la presse algérienne "au service de l'intérêt général" et retient du message de Boutros Boutros-Ghali le voeu du secrétaire général de la Francophonie de voir l'Algérie "mettre toute la richesse de sa diversité culturelle et linguistique au service de la diversité culturelle planétaire"

- Mardi 16 mai - La liberté d'expression ne s'octroie pas, elle s'arrache
Jeanine Jalkh rapporte de sa participation aux Journées d'Alger un long article sur le journalisme arabe francophone. Liberté et mondialisation, Arabisation et francophonie : le combat des cultures,  Savoir former, savoir informer, sont autant de sujets saillants dans le foisonnement des travaux et la réflexion solidaire provoquée par la réunion francophone d'Alger.

 

 

 
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